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SEANCE PUBLIQUE DU 10 DECEMBRE 2001- 602ème Séance

  • N° journal 7530
  • Date de publication 18/01/2002
  • Qualité 100%
  • N° de page
SOMMAIRE

- Dépôt de la Charte du Jeune citoyen Francophone du XXIème Siècle

Sont présents : M. Jean-Louis Campora, Président du Conseil National ; M. Jean-Joseph Pastor, Vice-Président ; Mme Marianne Bertrand-Reynaud, MM. Michel Boéri, Michel Boisson, Rainier Boisson, Mme Marie-Thérèse Escaut-Marquet, MM. Michel Grinda, Patrick Médecin, Guy Magnan, Alain Michel, Francis Palmaro, Mme Christine Pasquier-Ciulla, MM. Henry Rey, Robert Scarlot, Mme Florence Sosso, MM. Christophe Steiner, Jean Tonelli, Conseillers Nationaux.


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Assistent à la séance : S.E. M. Patrick Leclercq, Ministre d'Etat ; M. José Badia, Conseiller de Gouvernement pour les Travaux Publics et les Affaires Sociales ; M. Franck Biancheri, Conseiller de Gouvernement pour les Finances et l'Economie ; M. Philippe Deslandes, Conseiller de Gouvernement pour l'Intérieur ; M. Gilles Tonelli, Secrétaire général du Ministère d'Etat.


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Mme Martine Provence, Secrétaire général du Conseil National, assure le secrétariat.


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La séance est ouverte, à 19 heures 30, sous la présidence de M. Jean-Louis Campora.

M. le Président. - Monsieur le Ministre, Messieurs les Conseillers de Gouvernement, Mesdames et Messieurs, la séance est ouverte.


DEPOT DE LA CHARTE DU JEUNE CITOYEN FRANCOPHONE DU XXIème SIECLE

Ce soir, comme vous pouvez le constater, notre Assemblée souhaite donner un caractère particulier à la première séance publique de la seconde session ordinaire de l'année 2001, puisque, dans quelques instants, nous allons recevoir dans cet hémicycle, deux jeunes Monégasques, qui, à l'initiative de notre Assemblée et en collaboration avec la Direction de l'Education Nationale, de la Jeunesse et des Sports, ont brillamment représenté la Principauté de Monaco, lors de la première session du Parlement Francophone des Jeunes, tenue du 8 au 10 juillet 2001, à Québec, sous l'égide de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie.

Je demande au Secrétariat général du Conseil National de bien vouloir faire entrer Mlle Audrey Cheynut et M. Louis Bellando de Castro.

(Mlle Audrey Cheynut et M. Louis Bellando de Castro entrent dans l'hémicycle).

Nous avons le plaisir de les accueillir, ce soir, en présence de leurs parents, de Mme Yvette Lambin-Berti, Directeur de l'Education Nationale, de la Jeunesse et des Sports, assistée par son collaborateur M. Robert Ginocchio, qui a été l'accompagnateur de ces jeunes à Québec.

Mademoiselle Audrey Cheynut, Monsieur Louis Bellando de Castro, en mon nom personnel et en celui des Conseillers Nationaux, je vous souhaite la bienvenue dans cette enceinte et vous invite à prendre place.

En ma qualité de Président du Conseil National, il m'est particulièrement agréable de rappeler que la section monégasque de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie est constituée de notre Assemblée toute entière. A ce titre, notre délégation, composée de M. Rainier Boisson, Président, M. Jean-Joseph Pastor, Vice-Président et de Mme Florence Sosso, Membre permanent, a eu le plaisir d'assister, dans le cadre d'une séance plénière de la XXVIIème Session Ordinaire de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie à la présentation des travaux de cette première session du Parlement Francophone des Jeunes au travers du dépôt de la Charte du jeune citoyen du XXIème siècle.

Je vous rappelle que l'idée de créer le Parlement Francophone des Jeunes s'est concrétisée, lors du Sommet de Moncton au Canada, en septembre 1999, qui avait pour thème central "La jeunesse" et qu'il a été décidé, à cette occasion, de confier sa réalisation à l'Assemblée parlementaire de la Francophonie.

L'objectif assigné à ce Parlement Francophone des Jeunes est de développer la formation civique et la solidarité francophone des jeunes, de susciter la création ou le renforcement de Parlements ou de Conseils de jeunes dans les Parlements membres de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie, de renforcer le dialogue interculturel entre les jeunes de l'espace francophone et, enfin, de mieux connaître la diversité de la culture francophone.

A la suite de cette décision, il a été prévu de tenir, simultanément à la XXVIIème Session Ordinaire de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie, la première session du Parlement Francophone des Jeunes.

Je tiens à souligner que quarante-deux sections, membres de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie sur les cinquante-neuf qui la composent, ont participé à cet événement, permettant ainsi la représentation de l'ensemble des régions de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie, que sont l'Afrique, l'Asie-Pacifique, l'Amérique et l'Europe.

Je suis profondément heureux que la présence de nos deux élèves-députés monégasques, ait permis à la Principauté de Monaco, de marquer activement sa présence au sein de ce premier Parlement Francophone des Jeunes et je tiens à les en remercier très sincèrement.

Je voudrais également souligner que Mlle Audrey Cheynut a été élue, à l'unanimité, chef de groupe pour le thème "culture, communications et nouvelles technologies", ce qui correspondait à la qualité de Président de Commission et que M. Louis Bellando de Castro est intervenu pour soutenir des amendements sur les textes élaborés par les autres commissions.

Qu'ils me permettent ce soir de les féliciter très chaleureusement d'avoir su si brillamment représenter notre Pays.

A l'issue des travaux de ce Parlement Francophone des Jeunes, a été établie et adoptée à l'unanimité, en Assemblée plénière, la Charte du jeune citoyen francophone du XXIème siècle que nos deux jeunes Monégasques vont déposer, ce soir, devant notre Assemblée.

Je précise que cette Charte a déjà été présentée et déposée à Québec devant 250 parlementaires composant les délégations des sections, membres de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie dont celle de la Principauté de Monaco présidée par M. Rainier Boisson à qui je vais, maintenant, donner la parole.

Monsieur le Président Boisson, je vous en prie.

M. Rainier Boisson. - Merci, Monsieur le Président.

Permettez-moi tout d'abord de m'associer à vos propos d'accueil et de félicitations aux deux jeunes compatriotes, Audrey et Louis, qui ont représenté notre section de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie à la première Assemblée parlementaire de Jeunes Francophones au Québec.

Comme vous venez de nous l'indiquer, la décision de créer un Parlement francophone des jeunes avait été prise par les Chefs d'Etat de Gouvernement lors du Sommet de Moncton (septembre 1999). Le thème central de ce sommet était en effet "La jeunesse".

Sa réalisation a été confiée à l'Assemblée Parlementaire de la Francophonie, (A.P.F.).

Celle-ci, réunie à Yaoundé (Cameroun), en juillet 2000, a pris la décision de tenir à Québec, du 8 au 10 juillet 2001, sa XXVIIème Session Ordinaire. Elle a donc, à cette occasion, décidé de réaliser, la première Session du Parlement francophone des Jeunes.

Le Parlement francophone des Jeunes a réuni des élèves-députés choisis sur proposition des sections de l'A.P.F. Ces sections sont formées, dans chaque pays membre, par des députés ayant le français en partage. A Monaco, c'est l'ensemble des Conseillers Nationaux qui forme la section monégasque de l'A.P.F. La plupart des sections ont été représentées au Parlement des Jeunes ; chacune d'elles devait déléguer un garçon et une fille.

Pour être éligibles, les candidats devaient suivre un cursus scolaire normal et être âgés de plus de 16 ans et de moins de 18 ans au 31 juillet 2001.

Pour poser leur candidature, les élèves ont dû rédiger un projet de charte thématique portant sur cinq thèmes généraux. Ce projet de charte devait comprendre un texte de présentation de 200 à 250 mots et 7 à 12 articles.

Nos deux candidats ont suivi ce procédé et ont été retenus par la Francophonie pour représenter la Principauté.

Dans un cadre et selon un processus de type parlementaire, les élèves-députés ont été invités à rédiger et à adopter une Charte du jeune citoyen francophone du XXIème siècle répondant aux grands enjeux du nouveau millénaire.

Parmi les chartes thématiques rédigées par les candidats retenus, un comité de sélection de l'A.P.F. en a sélectionné 25 qui ont servi de base aux débats menant à l'adoption de la Charte du Jeune citoyen francophone du XXIème siècle.

La Charte adoptée par le Parlement francophone des jeunes a été présentée officiellement devant les parlementaires francophones, réunis en séance plénière de la XXVIIème session ordinaire de l'A.P.F.

Les cinq grands thèmes proposés pour l'élaboration de la Charte du jeune citoyen francophone du XXIème siècle étaient :

- Thème 1 : Education, santé et questions sociales.
- Thème 2 : Culture, communications et nouvelles technologies.
- Thème 3 : Libertés fondamentales et démocratie.
- Thème 4 : Prévention des conflits.
- Thème 5 : Environnement.

Notre section a donc pu sélectionner Mlle Audrey Cheynut et M. Louis Bellando de Castro, tous deux étudiants au Lycée Albert Ier

Ils ont été encadrés par M. Robert Ginocchio, responsable de la division Jeunesse, que je remercie. Je remercie également Mme Lambin-Berti, Directeur de l'Education Nationale, de la Jeunesse et des Sports, pour toute l'aide qu'elle a apportée à notre section.

Si vous le voulez bien, Monsieur le Président, je vous suggère de passer la parole à nos jeunes représentants, pour nous parler de leur expérience et de leurs travaux.

M. le Président. - Je vous remercie.
Mademoiselle, Monsieur, je vous en prie.

Mlle Audrey Cheynut. - Merci, Monsieur le Président.
Monsieur le Ministre, Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les Conseillers Nationaux, tout d'abord, nous tenons à vous remercier, Louis et moi, de nous accueillir ici même, au Conseil National. C'est un honneur pour nous de pouvoir venir déposer cette Charte du jeune citoyen francophone du XXIème siècle, ici, dans notre Pays après ces trois jours de travail à Québec.

La Charte, comme il a été dit précédemment, a été rédigée par les représentants de 44 pays différents, ayant tous en commun le français. Elle a pour but de faire entendre la voix des jeunes francophones. Cette Charte est divisée donc en cinq thèmes :

- l'éducation, la santé, les questions sociales ;
- la culture, les communications et les nouvelles technologies ;
- les libertés fondamentales et la démocratie ;
- la prévention des conflits ;
- l'environnement.

Je passe la parole à mon Collègue, Louis Bellando de Castro, pour qu'il vous explique comment les travaux se sont déroulés à Québec même.

M. Louis Bellando de Castro. - Monsieur le Président, Monsieur le Ministre, Mesdames et Messieurs les Conseillers Nationaux, je voudrais tout d'abord parler du travail qui a été effectué avant l'ouverture de la session du Parlement Francophone des Jeunes. Chaque participant au Parlement Francophone des Jeunes a dû rédiger un projet de Charte.

Ces projets de Charte ont été étudiés par un Comité de lecture qui en a sélectionné en tout vingt-cinq, soit cinq par thème. Les vingt-cinq projets de Charte étaient donnés comme projets-type et chaque article rédigé par chacun des participants était travaillé en Commission. Ensuite, les jeunes députés de chaque pays se sont réunis en Commission en fonction des thèmes qu'ils avaient choisi d'aborder pour leur projet de Charte.

Je donne à nouveau la parole à Audrey Cheynut afin qu'elle vous explique les travaux effectués lors de la session à Québec.

Mlle Audrey Cheynut. - Précédant l'ouverture du Parlement Francophone des Jeunes, une première réunion de Commission s'est tenue le samedi 7 juillet 2001, durant laquelle les jeunes députés ont élu leur chef de groupe ; le rôle du chef de groupe, pendant la durée du Parlement Francophone des Jeunes a été de représenter l'ensemble de sa Commission au sein des séances de l'Assemblée Plénière, de préparer le travail en Commission, ainsi que de procéder à l'élection du co-président de Commission et du parrain de Commission ...

M. Louis Bellando de Castro. - ... comme suite à l'ouverture officielle du Parlement Francophone des Jeunes, le dimanche 8 juillet 2001, les Commissions convoquées par les chefs de groupe se sont réunies, dans un premier temps, pour procéder à l'élection des co-présidents et des parrains des Commissions. Le rôle du co-président est d'assister le Président lors des débats en Commission ; le rôle du parrain est de représenter la Commission en séances plénières. Les travaux en Commissions étaient constitués de débats, de tours de table portant sur les articles retenus, pendant une période de deux jours. Ces articles ont fait l'objet d'amendements, de fusion, voire de suppression, afin d'obtenir un premier texte qui a été, à son tour, débattu en Assemblée Plénière, le lundi 9 juillet 2001.

Je vous remercie de votre attention.

M. le Président. - Merci, Mademoiselle Audrey Cheynut et Monsieur Louis Bellando de Castro. Souhaitez-vous maintenant déposer votre Charte ?

Si vous voulez bien venir, je vous invite à y procéder.


(Dépôt de la Charte du jeune citoyen francophone
du XXIème siècle par Mlle Audrey Cheynut
et M. Louis Bellando de Castro).


(Applaudissements).


Mademoiselle Audrey Cheynut, Monsieur Louis Bellando de Castro, je vous remercie en mon nom et en celui de l'Assemblée. Je me permets de vous remettre cette cassette commémorative du Parlement Francophone des Jeunes à Québec, ainsi qu'une médaille du Conseil National, qui vous rappellera votre passage dans cette enceinte et un livre des " Institutions de la Principauté de Monaco", édité par notre Parlement, et qui a été rédigé en très grande partie par M. Georges Grinda.


(Applaudissements).


Mes chers Collègues, si vous n'y voyez pas d'inconvénient, je propose de saisir de cette Charte conjointement la Commission des Relations Extérieures et la Commission de la Jeunesse qui auront pour but d'étudier ce document.

Avis contraires ? Pas d'avis contraire.

Abstentions ? Pas d'abstention.

Cette Charte est donc renvoyée devant ces deux Commissions qui s'attacheront, dans le respect des spécificités de notre Pays, garantes de notre identité, d'y donner les suites qu'elle mérite.

Monsieur le Président Rainier Boisson, je vous en prie.

M. Rainier Boisson. - Merci, Monsieur le Président.

Monsieur le Président, puis-je ajouter un mot avec l'accord du Ministre d'Etat ?

En effet, si vous me le permettez, Monsieur le Ministre, il me serait agréable de signaler, ce soir, à Audrey et à Louis que par courrier du 6 décembre, il y a donc quatre jours, vous avez fait connaître à notre Assemblée que, par la volonté de notre Souverain et dans le cadre de la déclaration du Prince Héréditaire Albert à l'O.N.U., le Gouvernement Princier a déposé ses instruments de ratification du Protocole facultatif à la Convention relative aux droits de l'enfant, concernant l'implication d'enfants dans les conflits armés.

Voilà donc une décision prise par notre Chef d'Etat en harmonie du thème n° 4 "Prévention des conflits" et, plus particulièrement, son chapitre "les enfants soldats et aide en cas de conflits".

M. le Président. - Merci, Monsieur le Président Boisson.
Monsieur le Ministre, le Gouvernement souhaite-t-il intervenir ?

M. le Ministre d'Etat. - Oui, Monsieur le Président, si vous le permettez.

Je veux d'abord saluer, au nom du Gouvernement, l'initiative qui a été prise par le Conseil National d'inscrire à son ordre du jour la présentation, avec la solennité dont s'assortissent ses travaux publics, de cette "Charte du jeune citoyen francophone du XXIème siècle".

De même, bien sûr, je félicite ceux qui sont à l'origine de ce texte important et novateur, c'est-à-dire le Parlement francophone des jeunes, auquel ont été associés deux des nôtres, Mlle Audrey Cheynut et M. Louis Bellando de Castro.

Vous avez apporté le témoignage de la part que la jeunesse doit prendre à l'édification d'un monde qui sera avant tout le sien puisque c'est elle qui est appelée à y vivre durablement. Qu'elle fasse valoir ses aspirations, ses ambitions, sa volonté, résulte d'une démarche nouvelle et bienvenue dont le mérite revient, en l'occurrence, à la francophonie.

Il est significatif que ce rassemblement autour de notre langue apparaisse ainsi non comme un réflexe frileux de protection contre ce qui serait ressenti comme des agressions multiformes dont elle serait l'objet au niveau international, mais comme un message d'avenir adressé à tous précisément parce que ce sont les jeunes générations qui l'expriment, des générations qui ne s'enferment plus dans les limites auxquelles nous nous sommes trop souvent bornés, quand nous ne les avons pas subies.

C'est donc la confiance qui doit nous animer ce soir, confiance en ce que nous sommes, confiance dans l'exemple que nous offrons aux autres, confiance dans notre capacité à nous situer par rapport aux autres dans la proclamation de nos valeurs, mais aussi dans un esprit de dialogue avec les autres langues et les autres cultures que nous respectons et dont nous attendons légitimement un égal respect.

Déterminer par cette Charte des droits et des devoirs, nous engage, toutes générations confondues. Cela nous engage d'abord par rapport à nous-même et nul doute que nos travaux, menés dans cette enceinte du Conseil National, s'en inspireront et le démontreront. Cela nous engage aussi, par rapport aux autres, dans un message d'ouverture et de compréhension qui va bien au-delà de la sphère de la franco-phonie aussi diverse soit-elle déjà.

La jeunesse nous trace la voie et c'est fort bien qu'elle nous interpelle ainsi et nous rappelle que c'est elle qui détient les leviers du futur.

Si jeunesse savait, si vieillesse pouvait, dit l'adage. La jeunesse démontre, à travers cette Charte, qu'elle sait. Vieux et moins vieux, au sein de la Haute Assemblée comme du Gouvernement démontrons, à notre tour, dans une démarche parallèle, que nous pouvons, en procédant aux reformes qui préparent l'avenir, tout en préservant nos équilibres, sources de notre force, et notre identité sur laquelle s'appuie notre statut d'Etat souverain, membre à part entière de la francophonie comme de la communauté internationale.

Je vous remercie.

M. le Président. - Je vous remercie, Monsieur le Ministre.
Quelqu'un souhaite-t-il intervenir ?

S'il n'y a plus d'interventions, il m'appartient maintenant de lever la séance, en émettant le souhait que notre Pays puisse à nouveau être aussi bien représenté lors de la deuxième session du Parlement Francophone des Jeunes, prévue en cours d'année 2003.

Monsieur le Ministre, Messieurs les Conseillers de Gouvernement, Mademoiselle Cheynut, Monsieur Bellando de Castro, Mesdames et Messieurs, je vous remercie. La séance est levée.
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