S.A.S. le Prince Héréditaire Albert participe à la Conférence Mondiale contre le dopage.
S.A.S. le Prince Héréditaire Albert a participé à la Conférence Mondiale sur le dopage dans le sport qui se tenait à Copenhague. Celle-ci a rassemblé un millier de participants ayant répondu à l'invitation de l'Agence Mondiale Antidopage (AMA).
La délégation monégasque représentant le Gouvernement princier et le Comité Olympique Monégasque comprenait : M. Philippe Deslandes, Conseiller de Gouvernement pour l'Intérieur ; Mme Yvette Lambin-Berti, Directeur de l'Education Nationale, de la Jeunesse et des Sports ; Mme Sylvie Bertrand, de la Direction de l'Education Nationale de la Jeunesse et des Sports et le Docteur Jack Michel, de la Direction de l'Action Sanitaire et Sociale.
Invité à S'exprimer dans la session des athlètes, co-présidée par M. Sergeï Bubka, le Prince Héréditaire Albert soulignait que ceux-ci étaient au coeur du débat. Il se déclarait pour "un sport propre, juste, équitable et intègre" et rappelait " la nécessité d'avoir enfin un texte de référence qui prenne en compte tous les aspects de la lutte contre le dopage" en invitant tous les participants réunis dans ce forum à adopter le Code mondial antidopage.
Ce texte, soumis à l'approbation des instances sportives et politiques internationales lors de cette conférence est l'instrument qui doit permettre à l'Agence Mondiale Antidopage (AMA) d'exercer son autorité à l'échelle mondiale. Rappelons que l'AMA est présidée depuis sa création et jusqu'en 2004 par le Canadien Dick Pound, membre du CIO, qui dirige les deux instances principales de l'organisation, le Comité exécutif et le Conseil de Fondation. En 2000 et 2001, le financement de l'AMA a été assuré exclusivement par le mouvement olympique. Depuis le 1er janvier 2002, son budget (21 millions d'euros en 2003) est pris en charge par moitié par le CIO, moitié par les gouvernements.
Au terme des trois jours de travaux, les participants adoptaient une résolution, votée par acclamation, approuvant de manière informelle le Code mondial antidopage, un texte d'une cinquantaine de pages comprenant vingt-quatre articles ayant pour objectifs, comme le précise le texte d'introduction, de "protéger le droit fondamental des sportifs de participer à des activités sportives exemptes de dopage, promouvoir la santé et garantir ainsi aux sportifs du monde entier l'équité et l'égalité dans le sport ; veiller à l'harmonisation, à la coordination et à l'efficacité des programmes antidopage aux niveaux international et national en matière de détection, de dissuasion et de prévention du dopage".
Les instances sportives devront le mettre en oeuvre d'ici aux Jeux Olympiques d'Athènes en 2004, et les gouvernements devraient y adapter leur législation au plus tard en 2006.
Une cinquantaine d'Etats a signé la Déclaration de Copenhague contre le dopage dans le sport, le premier fût la Principauté de Monaco, M. Philippe Deslandes agissant au nom du Gouvernement princier.
Le Prince Héréditaire Albert avait rappelé dans son intervention toute l'importance d'une solidarité collective pour résoudre ces problèmes de dopage dans le sport : "nous ne pouvons pas agir seuls, nous avons besoin des efforts de chacun pour accomplir ensemble ce travail d'équipe".
La délégation monégasque représentant le Gouvernement princier et le Comité Olympique Monégasque comprenait : M. Philippe Deslandes, Conseiller de Gouvernement pour l'Intérieur ; Mme Yvette Lambin-Berti, Directeur de l'Education Nationale, de la Jeunesse et des Sports ; Mme Sylvie Bertrand, de la Direction de l'Education Nationale de la Jeunesse et des Sports et le Docteur Jack Michel, de la Direction de l'Action Sanitaire et Sociale.
Invité à S'exprimer dans la session des athlètes, co-présidée par M. Sergeï Bubka, le Prince Héréditaire Albert soulignait que ceux-ci étaient au coeur du débat. Il se déclarait pour "un sport propre, juste, équitable et intègre" et rappelait " la nécessité d'avoir enfin un texte de référence qui prenne en compte tous les aspects de la lutte contre le dopage" en invitant tous les participants réunis dans ce forum à adopter le Code mondial antidopage.
Ce texte, soumis à l'approbation des instances sportives et politiques internationales lors de cette conférence est l'instrument qui doit permettre à l'Agence Mondiale Antidopage (AMA) d'exercer son autorité à l'échelle mondiale. Rappelons que l'AMA est présidée depuis sa création et jusqu'en 2004 par le Canadien Dick Pound, membre du CIO, qui dirige les deux instances principales de l'organisation, le Comité exécutif et le Conseil de Fondation. En 2000 et 2001, le financement de l'AMA a été assuré exclusivement par le mouvement olympique. Depuis le 1er janvier 2002, son budget (21 millions d'euros en 2003) est pris en charge par moitié par le CIO, moitié par les gouvernements.
Au terme des trois jours de travaux, les participants adoptaient une résolution, votée par acclamation, approuvant de manière informelle le Code mondial antidopage, un texte d'une cinquantaine de pages comprenant vingt-quatre articles ayant pour objectifs, comme le précise le texte d'introduction, de "protéger le droit fondamental des sportifs de participer à des activités sportives exemptes de dopage, promouvoir la santé et garantir ainsi aux sportifs du monde entier l'équité et l'égalité dans le sport ; veiller à l'harmonisation, à la coordination et à l'efficacité des programmes antidopage aux niveaux international et national en matière de détection, de dissuasion et de prévention du dopage".
Les instances sportives devront le mettre en oeuvre d'ici aux Jeux Olympiques d'Athènes en 2004, et les gouvernements devraient y adapter leur législation au plus tard en 2006.
Une cinquantaine d'Etats a signé la Déclaration de Copenhague contre le dopage dans le sport, le premier fût la Principauté de Monaco, M. Philippe Deslandes agissant au nom du Gouvernement princier.
Le Prince Héréditaire Albert avait rappelé dans son intervention toute l'importance d'une solidarité collective pour résoudre ces problèmes de dopage dans le sport : "nous ne pouvons pas agir seuls, nous avons besoin des efforts de chacun pour accomplir ensemble ce travail d'équipe".